ST OUEN 2017- CHAPITRE UN : DES PUCES QUI GRATTENT LÀ OÙ ÇA FAIT DU BIEN

L'objectif affiché, en cette belle journée, était de me rendre à la galerie Street Dreams, sise dans le marché Malik. Des œuvres y figurant, postées sur Instagram, m'avaient sacrément alléché. Je ne m'étais pas rendu au Marché aux Puces de Saint Ouen depuis une bonne quinzaine d'années. La cause en était double : l'éloignement géographique en premier lieu, suivi de très près par l'extrême multiplicité des tentations. Le séisme émotionnel n'en fut que plus conséquent. Loin de foncer direct sur ma cible, j'entrepris un parcours non-géométrique aux alentours des différents marchés dont l'ensemble forme les dites Puces. Des murs aux devantures des magasins fermés, l'effervescence street art est ici poussée à un degré supérieur, et le nombre d'œuvres majeures est élevé. Du grand, du beau, du graph de haut vol.